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De décembre à
juin, il y a de quoi faire !
Le vernis reste difficile. Il faut teinter aux
premières couches et finir en incolore, sinon
on en enlève trop au polissage !
Attention au perçage des trous pour les
chevilles. Ça ouvre très vite et c'est
toujours trop.
Attention aussi à la courbure du chevalet et
au bouton de pique.
Réajusté, visse renforcée et écrou fixé avec
goupille. Inusable !
Le vernis étant assez prononcé, la touche, les
chevilles, le cordier et les sillets qui sont
en cormier ont dû être teintés.
Deux gouttes de teinte rouge, et c'est passé
au rose fuchsia salami.
Après deux jours de colère ennuyée, j'ai tout
passé au brou de noix, bien frotté,
les pores se sont ouverts, repoli au 1000,
huilé pur, sans colorant, c'est devenu couleur
sombre bois de rose.
Les boîtes traditionnelles sont peu pratiques
pour ce modèle.
J'ai poussé l'amusement à faire une boîte en
carton kraft alvéolé nid d'abeille.
Le tissus intérieur est une soierie chinoise
que l'on m'a offert il y a bien longtemps.
Poids de la boîte vide avec bretelles : 5,0 kg
Boite + Cellocto II + archet : 8,0 kg
Le son est d'une constance remarquable entre
les cordes.
La note juste se trouve d'emblée, et pas un
loup sur le fa !
Les doubles cordes pianissimi ne grattent ni
ne couinent.
À le jouer tous les jours, il s'ouvre
davantage et promet une vie de pur-sang !
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