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É L É M E N T S
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L e t e x t e i n t é g r a l e s t s o u s l e s c o u v e r t u r e s | |
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Le moi est un trou dans
le Nom-du-Père, c'est pourquoi j'écrirai Pierre. Je
détruirai toutes les morts. On est devant un trou. Les
morts sont dans le trou. Mais il ne faut pas dire que le
trou a la toute-puissance. Votre sabot a eu le reste du
monde. Il ne reste plus que moi, détaché. On a bien pris
la photo, au-delà du poinçon, et le reste reste. Se
prendre pour l'objet, objet de qui, objet fantasmatique,
objet du père, souvenir de dépendance, jouissance de
l'Autre omnipotente, réalité du transfert. Donné, c'est
donné. Tu ne récupères pas l'objet petit α. ... Je laisse un deuil immense sur le tombeau. Il m'a pris ce pain pour que je sois libre. C'est l'endroit où il faut bien avouer qu'il n'y a rien à comprendre. On nous demande des choses plus difficiles que la mort. Grandir en soi-même est une forme de charité. J'en suis aimé de ta présence. L'objet spéculaire reste toujours derrière une vitre, même dans le cas du transfert le plus déluré. Accepter l'autre est au prix de la mort écrite sur l'écran. Je signe tout en me détachant des preuves qui sont en reste. |
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' Oui tu
retiens, amour, mon âme fugitive,
Je reconnais la voix de mon
vainqueur,
L'espérance est morte en mon coeur, Et cependant tu vis, et tu veux que je vive. Hémon, vois le pouvoir que l'amour a sur moi, Je ne vivrais pas pour moi-même, Et je veux bien vivre pour toi. ' La Thébaïde - Acte V, Scène 1 Jean Racine 1639-1699 |
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Si je dis des choses aussi
grosses que la maison, il faudra bien que des
femmes soient prévenues. On va parler de l'eau,
question de mettre des mots sur l'O, enfin, le
trou, et même, le trou dans le Nom-du-Père qui
produit la jouissance de l'Autre ! Ce qui met la
puce à l'oreille, pour ne pas dire, l'eau à la
bouche, c'est que la bâche de l'art, elle a Sade,
et qu'exploiter Céline, ça donne Poutine. Vu
qu'il s'agit uniquement et pertinemment de
discours, on ne va pas se gêner avec les objets
qu'il trimballe ! ... Difficulté d'en venir à la matérialité de l'objet de l'Autre. Ou bien, on s'y prend les pieds, avec passage obligé sur les forclusions officielles de l'image, ou bien l'encodage se retourne, avec le filet à papillon qui prendra l'encodeur à son propre piège. Les complaintes de la pervertisation du père sonneront leur propre tocsin. Les mystères de la mort sont tellement loin qu'on a élu domicile dedans, en plein cœur. C'est l'ubiquité de l'amour qui de personne à personne fait donnant-donnant. |
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' L'art est un mensonge Picasso 1881-1973 cité par Orson Wells |
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Si la République veut imposer
l'œdipe au réel, elle aura du mal à en payer les
conséquences. Ceci dit, car je me pose la
question, d'où ça vient ? C'est dans l'air ! Ça se
tape la famille et basta, pris au sac ! Et de sac,
de surface, d'ensembles, ils sont tous intégrés à
notre chère chose publique. J'ai beau être
conscient et apparemment en bonne santé, ça ne me
donne pas le droit d'aller voir chez l'autre ce
qui cloche. Il faut même éviter de se mettre dans
la baignoire pleine d'acide chlorhydrique du
politique. Le théorème de Pythagore n'a rien de
démocratique. ... On me dit, tu n'as pas perdu ton Nord, tu n'as pas perdu ton or ! La Haute-Saône est un pays de gens en souffrance. Ça tombe comme une écriture draconienne. Toute loi pulsionnelle agissant en tant que forclusion sur l'image de l'objet de la jouissance de l'Autre est l'exploitation d'un trou dans le Nom-du-Père. Qui s'est payé le père pour réaliser une telle machinerie ? La mère, bien sûr ! Mais sûrement pas réelle. Métaphorique et fantasmatique. Ça arrange la légalisation perverse. Indécelable sans les mots pour le dire. Voilà qui est fait ! |
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Est-il rien d’aussi doux Michel de Montaigne 1533-1592 |
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Ce n'est pas
parce qu'elle a donné son cul à son père que
l'on est obligé de passer dedans ! Sinon, elle
pourra se les catapulter, ses centrales
nucléaires, ça ne marchera plus du tout ! Se
faire exploiter comme objet de la connerie de
l’Autre, n’est absolument pas raisonnable, ni
confortable. Ce n’est pas que cela m’arrive, ça
arrive à tout le monde !, mais c’est que j’en
deviens conscient, ce qui n’est pas donné à tout
le monde. Il est plus facile et confortable de
rester dans l’inconscient, et d’exploiter ce qui,
dans tous les cas de figure, peut s’appeler la
faute cachée du père ! ... À force de tuer les enfants, il faudra bien qu'elle finisse par reconnaître que i carré égal moins un, ce qui pose que le carré d'imaginaire est un élément en moins. Je ne vis pas pour moi, je vis dans un don, je vis dans le don du père symbolique et sa reconnaissance. Il faut bien entrer dans ce pays de l'Autre, où il y a ça sous contrôle. Le don qui en découle est donné pour qu'on s'y donne. Je n’ai rien fait pour souffrir dans ces pages. J’ai simplement suivi un ordre. À force de chercher le feu, ce serait pour y brûler tout cet inconscient mal poli qui possède sans qu’on n'en sache rien. Ce qui reste est un pas grand-chose, qui sert d’objet à son heure, pour tout quitter, encore une fois. |
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' La
vraie position de l'homme J-L Godard 1930-1922 '
Nous avons l'art pour ne pas mourir de la
vérité. ' |
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